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Des reporters JTC

Izumo, un Japon mystique au cœur de Shimane

A trois heures de Hiroshima, lovée dans la campagne du département de Shimane, se trouve une ville mystique : Izumo, où les dieux du Japon se donnent rendez-vous chaque année. 

Si les ferrus d’Histoire et de légendes y trouveront sans l’ombre d’un doute leur bonheur, les amateurs d’artisanat nippon découvriront également avec enthousiasme cette mystérieuse région !

 

Izumo, le berceau du Japon

 

« Izumo » signifie « où sortent les nuages », un nom mystérieux pour une ville qui l’est tout autant, à commencer par le grand sanctuaire Izumo Taisha. Ce sanctuaire shinto commence à gagner en célébrité auprès des visiteurs étrangers, tandis qu’il s’agit déjà d’un incontournable pour les visiteurs japonais. Sanctuaire du enmusubi (littéralement « nouer des liens »), il est réputé pour abriter Okuninushi, le dieu des rencontres, mais si vous n’êtes pas venu pour demander au ciel de vous trouver une âme sœur, il vaut tout de même le détour ! Le honden, bâtiment principal d’Izumo Taisha, est, du haut de ses 24 mètres, le plus grand sanctuaire du Japon. Classé Trésor national depuis 1952, le mystère commence autour de sa création, dont on ignore la date exacte, mais dont la légende est inscrite dans les plus anciennes chroniques du pays remontant au 8e siècle. Et les dieux sont bien sûr mêlés à cette histoire...

Izumo Taisha, haiden. Ce bâtiment se situe juste avant le honden et arbore une corde sacrée shimenawa.

 

Les deux ouvrages qui ont participé à faire d’Izumo un haut-lieu mythologique sont le Kojiki et le Nihonshoki. Les deux plus anciens recueils historiques du Japon relatent la création du pays à travers les actions des dieux, et Izumo est le lieu où se déroulent plusieurs de ces légendes, dont celle où Okuninushi remet à la déesse du soleil Amaterasu le pays qu’il a construit. En échange, elle lui fera dresser un immense sanctuaire. Vous l’avez peut-être déjà deviné : il s’agit d’Izumo Taisha.

Izumo Taisha, zoom sur le toit du honden. On ne peut pas accéder à l’intérieur de l’édifice, mais sa stature impressionnante maintient une atmosphère solennelle en toute circonstance.

 

Le musée départemental Shimane Museum of Ancient Izumo, qui est à deux pas d’Izumo Taisha, saura satisfaire votre curiosité à l’égard de cet énigmatique sanctuaire. Une salle d’exposition y est dédiée, où des maquettes représentent de possibles apparences du honden lorsqu’il atteignait... 48 mètres de haut ! En effet, des fouilles archéologiques ont permis de confirmer le gigantisme de cet édifice, dont on suppose qu’il faisait le double de sa taille actuelle dès l’époque Heian (794–1185). Outre le sanctuaire et les légendes qui lui sont liées, ce musée regorge de découvertes archéologiques de la période Yayoi (environ du 10e siècle av. J.-C. jusqu’au 3e siècle). Tout comme le musée Yayoinomori, et bien que ce dernier soit isolé en périphérie du centre-ville, son accès est gratuit et l’on peut y découvrir les tumulus Nishidani, vestiges de tombeaux d’anciens rois d’Izumo, en s’y promenant librement. Le tombeau n°2 a été reconstitué et aménagé avec une exposition à l’intérieur, tandis que le n°3 a conservé forme et taille au fil des siècles. Les objets archéologiques qui y ont été découverts sont exposés à l’intérieur du musée.

Nishidanifunbogun, tombeau n°2. Cette photo est prise depuis le tombeau n°3 du site de tumulus Nishidani.

 

Une région fière de son folklore millénaire

 

« Kamiarizuki » signifie « le mois où les dieux sont présents » et vient en opposition au terme « Kannazuki », « le mois où les dieux sont absents ». Kannazuki était le nom du mois d’octobre de l’ancien calendrier japonais. Il indique que les dieux ne sont plus présents dans les villages car ils sont partis... à Izumo ! Izumo était donc le seul endroit du Japon où l’on appellait cette période kamiarizuki

Aujourd’hui encore, les rituels shinto liés à l’arrivée des dieux et à leur présence perdurent. Une tradition culinaire y est même liée : le zenzai ! Ce dessert, à l’origine dégusté au moment du kamiarizuki, est une soupe de haricots rouges sucrée avec des morceaux de mochi. Il était appelé jinzai mochi, « le mochi des dieux », mais à cause du dialecte local (affectueusement appelé zûzûben) jinzai serait devenu zunzai, puis arriva finalement à Kyoto sous le nom de zenzai.

Zenzai servi chaud (à gauche) et froid (à droite) au café Amaemon. Le biscuit représente Daikoku-sama, un autre nom donné au dieu Okuninushi.

 

Les histoires et lieux en rapport avec les dieux ne manquent pas à Izumo. Le Japon a d’ailleurs reconnu cette spécificité en enregistrant la ville sur sa liste Japan Heritage (patrimoine du Japon) sous le titre Sunset in the Sacred Land of Izumo (le soleil couchant sur la terre sacrée d’Izumo). Le concept Japan Heritage créé par l’Agence pour les Affaires culturelles est là pour reconnaître et donner plus de visibilité aux régions, à leur patrimoine matériel et vivant, qui, à travers des lieux particuliers et chargés d’Histoire, transmettent les récits qui font la culture et les traditions du Japon.

 

Dans le cas d’Izumo, la côte donnant sur la mer du Japon allant de la plage Inasa no Hama à Hinomisaki est le témoin de bien des histoires autour du soleil couchant.

A commencer par Hinomisaki, où le sanctuaire du même nom vénère la déesse du soleil, Amaterasu. Si d’ordinaire elle symbolise le soleil levant, ici, elle est bien sûr associée au soleil couchant. Ce sanctuaire également très ancien était à l’origine sur Fumishima, une île toute proche, mais a été déplacé au cours du 10e siècle. L’île est depuis restée sacrée et il est interdit d’y accéder, à une exception près... Deux prêtres du sanctuaire s’y rendent le 7 août de chaque année à l’occasion du rituel miyukishinji, également appelé festival du soleil couchant. Un moment magique, toujours très attendu par les amateurs et professionnels de la photographie !

Prêtres shinto sur l’île Fumishima pour le festival du soleil couchant.

 

A un kilomètre d’Izumo Taisha, la plage Inasa no Hama et son paysage singulier : un énorme rocher comme échoué sur la grève arbore un mini sanctuaire à son sommet. J’évoquais plus haut la légende où Okuninushi cède son pays à Amaterasu. Inasa no Hama est le lieu où elle se serait déroulée. En partant d’Izumo Taisha, il est particulièrement agréable de rejoindre cette plage en passant par les petites rues bordées de charmantes maisons, une glace à la main ! Le coucher de soleil attire ici toujours un peu de monde, mais rien de comparable aux foules des grandes agglomérations. Il est ici possible de profiter de la plage en toute quiétude et la baignade est autorisée.

 

Pour clôturer en beauté cette escapade à la fois historique et mystique, voici trois lieux à l’atmosphère singulière en pleine nature :

Le Temple Gakuenji

S’il y un endroit à visiter en automne, c’est bien celui-ci. Les feuilles rouges « momiji » habillent la montagne où est niché ce temple de la couleur du feu. En retrait dans la montagne, il n’est pas évident d’y accéder, l’entrée est payante et les trépieds sont interdits, mais le jeu en vaut la chandelle ! Gakuenji signifie le « temple du requin des abysses », et vous l’aurez deviné, une belle légende se cache ici aussi.

Le Temple Ichibata Yakushi

Ce temple également caché dans une des montagnes d’Izumo est réputé pour son Bouddha guérisseur des yeux, qui attire des pèlerins de tout le Japon. Des milliers de statues du Bouddha offertes par les fidèles sont exposées en extérieur. Agréable à visiter en toute saison, le plus de ce temple est qu’il propose aux visiteurs de s’essayer au « zazen », la méditation assise du bouddhisme Zen.

Les gorges Tachikuekyo

Des falaises impressionnantes et une belle promenade en perspective. Le moment fort de cette sortie : lorsque vous découvrez petit à petit que vous êtes entouré de centaines de jizô, ces petites statues de pierre représentant le bouddha protecteur des enfants et des voyageurs. Une aire de camping et une auberge traditionnelle avec onsen se trouvent également à proximité.

Jizô dans les gorges de Tachikuekyo.

 

Un artisanat local qui perdure

 

Izumo n’est pas seulement une ville historique. Elle possède encore des artisans de tradition qui font la fierté de leur quartier et participent au dynamisme de la région. Des potiers aux brasseurs de saké, petit tour du savoir-faire local en commençant par le quartier Hikawa.

En partant de la gare Izumo-shi, vous mettrez dix minutes en voiture pour rejoindre le lieu-dit Shussai. D’abord connu pour sa production de gingembre Shussai, cet endroit recèle des trésors d’artisanat insoupçonnés.

Artisan potier

Inspiré du mouvement d’art populaire Mingei, l’atelier de potiers Shussaigama produit des pièces à l’aspect simple et minimaliste en n’utilisant que des matières premières locales. Le bleu profond de leurs objets, que l’on appelle « bleu shussai », est leur couleur emblématique. Si l’on trouve d’ordinaire la signature du maître ou le lieu de production au dos d’un objet de table, les artisans qui travaillent ici n’ont pas adopté cette pratique par souci de rendre l’intervention humaine la moins visible possible. A côté du magasin et de leur atelier que vous pouvez visiter librement, se trouve une boulangerie – restaurant Le cochon d’or Shussai. En plus de la vente de pains et viennoiseries à emporter le lieu propose pour le midi des plats originaux en utilisant exclusivement de la vaisselle produite par l’atelier.

Atelier de poterie Shussai, poteries au bleu « shussai ».

 

Artisan verrier 

Juste à côté de l’atelier de poterie Shussaigama se trouve un atelier de verre appelé Studio Glass Kobo. En plus de présenter et de proposer à la vente les charmants objets qu’ils créent au quotidien et leurs pièces artistiques, le couple qui gère la verrerie propose également un atelier pour créer son propre objet en verre. Objet qui peut être expédié par la poste si le visiteur ne peut venir le récupérer une fois le séchage terminé.

 

Musée de la courtepointe

Izumo Quilt Museum est ce qu’il se fait de plus adorable en matière de musée. Au milieu des champs de la grande plaine d’Izumo, cette ancienne maison traditionnelle a 200 ans, et c’est là que l’artiste Yawatagaki Mutsuko a choisi d’exposer ses travaux. A l’intérieur un café et une ambiance feutrée qui permettent de contempler les œuvres et installations saisonnières en toute quiétude. Un pur moment de relaxation artistique à la japonaise.

Musée de la courtepointe.

 

Momen Kaido

« La route du coton », un quartier très animé aux 17e et 18e siècles qui tire son nom de son commerce principal, a conservé malgré les affres du temps certains de ses artisans qui sont aujourd’hui toujours en activité. La plus ancienne des boutiques encore présente a 300 ans et il s’agit d’une confiserie de bonbons au gingembre : Kurumaya shôgatô.

Deux producteurs de sauce soja et un brasseur de saké se trouvent également dans ces rues. 

Chez Oka Môichirô il est possible de goûter aux différentes variété de sauces soja produites, et notamment à celle que l’on préfère utiliser dans la région : saishikomi shôyu

Yamasan Masamune est l’un des célèbres sakés d’Izumo et il produit ici, chez Saké Mochida. Il est bien sûr possible d’y goûter dans certains restaurants de la ville, mais rien ne vaut une dégustation sur place dans l’atelier du brasseur.

 

Enfin, comment parler d’artisanat local sans évoquer les Izumo soba ? L’incontournable spécialité culinaire de la région est un plat de nouilles de sarrasin, servi sous forme kamaage soba ou warigo soba. La forme warigo provient de la ville féodale de Matsue : quand le seigneur était de sortie, il était bien plus pratique de transporter ces nouilles froides bien rangés dans des boîtes empilées les unes sur les autres. La forme kamaage vient d’Izumo Taisha : lorsque les fidèles se rassemblaient au sanctuaire pour le kamiarizuki, des échoppes proposaient des nouilles tout juste sorties de la marmite avec leur bouillon bien chaud pour lutter contre le froid saisonnier. Les Izumo soba peuvent convenir à un régime végétarien, à un détail près : les flocons de bonite séchée (katsuobushi). Certains restaurateurs en proposent en accompagnement ou l'utilisent comme fond pour leur sauce à soba (sobatsuyu).

Warigo soba de chez Haneya.

 

Quelle est la meilleure période pour visiter Izumo ?

 

Tout dépend de votre objectif de visite, mais la rédactrice de ce billet a bien une recommandation personnelle à formuler : mi-mai. La Golden Week est terminée, Izumo a dit au revoir à ses touristes et retrouvé son calme. De plus, il ne fait pas encore trop chaud (entre 20 et 25°C en moyenne de jour) et la saison des pluies n’arrivera pas avant juin. Plus précisément, les 15 et 16 mai sont jours de célébrations à Izumo Taisha, qui organise son grand festival annuel Daisairei. Vous pourrez donc profiter de danses traditionnelles Kagura et du défilé du « mikoshi », sanctuaire portatif. De plus, une grande cérémonie du thé et un marché aux puces ont également lieu à Izumo Taisha durant ces deux jours. Un joli complément à votre visite du célèbre sanctuaire !

 

Osusume : ce que je vous recommande à Izumo !

Vous n’avez qu’une journée à consacrer à Izumo ? 

Voici une idée de parcours pour ne pas perdre une miette de ce précieux jour : si le temps s’y prête et que vous arrivez à la gare Izumo-shi, louez un vélo pour aller jusqu’au sanctuaire Izumo Taisha et profitez ainsi des paysages de la campagne japonaise. Au mois de mai on repique le riz, les rizières sont inondées et des pousses vertes commencent à y apparaître. Il n’est pas rare d’en voir, même en centre-ville !

En chemin faites un arrêt à Rhubarb Bakery et goûtez à son melon pan au gingembre en profitant du cadre de cette maison traditionnelle japonaise transformée en boulangerie. Si vous prenez un café ou un thé sur place, on vous le sert dans une belle tasse Shussaigama.

Avant d’atteindre Izumo Taisha et sa longue rue commerçante Shinmon-dori, faites un arrêt au Izumo Cultural Heritage Museum et découvrez une demeure de style fin 19e siècle et son jardin. Les amateurs de thé peuvent apprécier un thé matcha accompagné de sa pâtisserie japonaise dans le pavillon du thé Shôraitei.

Après votre visite d’Izumo Taisha savourez un repas à Tanakaya, l’un des sobaya (restaurant de nouilles de sarrasin) du quartier servant le mets local : les Izumo soba. Déjà testé ? Alors dirigez-vous plutôt à Sanbe Burger, où vous pourrez goûter au plat du même nom.

Flânez dans la rue animée, jetez un œil aux poupées de Negaibina Museum Izumonoen, rendez-vous à la plage Inasa no Hama en passant par la rue Kamimukae no Michi, et... il sera bientôt l’heure de rentrer.

Au retour le soir, après avoir rendu votre vélo à la gare, direction Tsubameya, l’un des nombreux izakaya (bar restaurant) du quartier Imaichi pour goûter aux sakés locaux. Deux d’entre eux, Jûji Asahi et Izumo Fuji, sont produits dans ce même quartier.

Izumo Cultural Heritage Museum : entrée libre (sauf salle d’exposition) Set de thé matcha : 400 yens

 

Et le mois des dieux ?

 

Le fameux « kamiarizuki », moment où tous les dieux sont à Izumo, a lieu en général au mois de novembre. Il débute par la cérémonie d’accueil des dieux sur la plage Inasa no Hama à la tombée de la nuit. Il est vrai qu’il s’agit là d’une expérience spirituelle hors du commun, mais préparez-vous à faire vos réservations à l’avance, car cette période est très prisée des fidèles et simples visiteurs japonais. Visiter Izumo Taisha pendant le kamiarizuki, c’est une opportunité qu’on ne laisse pas passer, car si les dieux sont tous réunis ici, c’est pour le « enmusubi », autrement dit : décider de votre destinée future ! L’occasion de mettre toutes les chances de son côté pour être dans les petits papiers des dieux...

Rocher Bentenjima sur la plage Inasa no Hama

 

Où se trouve Izumo, comment s’y rendre et s’y déplacer ?

 

Izumo se trouve au sud-ouest de l’île de Honshu, dans le département de Shimane. Ce département fait partie d’une région que l’on surnommait « l’envers du Japon », ura no nihon, un Japon rural en contraste avec la côte est fortement urbanisée. Donc, loin de tout... ? Pas tant que ça ! 

 

- En bus ou en train il faut trois heures depuis Hiroshima ou Okayama pour rejoindre la gare Izumo-shi. Les détenteurs d’un JR Pass peuvent grâce à lui emprunter un bus JR qui se rend directement à Izumo. Les non détenteurs d’un JR Pass peuvent tout de même bénéficier du tarif très avantageux de 500 yens, sur présentation de leur passeport, pour le trajet en bus Hiroshima – Matsue, Matsue - Hiroshima.

 

- Izumo possède aussi un aéroport : Izumo Enmusubi Airport. Comptez 1h30 de voyage depuis Tokyo Haneda. Vous pouvez bénéficier d’un tarif préférentiel grâce au Japan Explorer Pass de la JAL, qui vous permettra de venir depuis Tokyo pour 11 000 yens.

 

Pour vous déplacer une fois à Izumo, plusieurs options s’offrent à vous :

 

- Les trains et bus Ichibata : la compagnie locale. Attention, vous êtes à la campagne, cela signifie qu’il y a moins de service que dans les grandes villes. Vérifiez bien les horaires des bus et trains avant tout déplacement.

- Le En-musubi perfect Ticket (Ichibata) : un ticket à 2000 yens valable trois jours pour vous déplacer dans Izumo et Matsue à volonté avec les trains et bus Ichibata. 30 kilomètres séparent Matsue et Izumo avec entre les deux villes le lac Shinji, 7e plus grand lac du Japon. De riches paysages vous attendent à travers les fenêtres des petits trains locaux !

 

- Le vélo : la ville d’Izumo propose la location à la journée de vélos (520 yens/jours pour 1 vélo classique et 830 yens/jour pour 1 vélo avec assistance électrique). De la gare Izumo-shi à Izumo Taisha, il y a moins de dix kilomètres et la ville est une plaine... La route est à vous !

 

- La voiture : louer une voiture au Japon est simple, et conduire à la campagne l’est encore plus ! Découvrez la région à votre rythme et accédez rapidement aux endroits peu desservis par les bus ou trains locaux. A noter : le quartier d’Izumo Taisha a beau être un haut-lieu touristique, ses parkings sont gratuits.

 

Bien que le train à grande vitesse Shinkansen n’y circule pas encore, je ne peux que recommander Izumo et sa région aux visiteurs désireux de quitter les sentiers battus et les bains de foule, afin de partir explorer les racines du Japon... Je ne vous l’avais pas dit ? Shimane signifie : « les racines de l’île ».

 

Retrouvez plus d’informations sur :

Le site officiel https://ancient-japan-izumo.com/fr/ 

Et les réseaux sociaux :

Facebook @AncientJapanIzumoFr

Instagram @ancient_japan_izumo_fr 

Un bel article à lire avant de visiter Izumo Taisha : https://decouvrezmatsue.wordpress.com/le-grand-sanctuaire-izumo-taisha/

Lucie Bourgeois
Auteur: Lucie Bourgeois

Coordinatrice des relations internationales à la mairie d’Izumo, département de Shimane.
Originaire du département du Lot, je n’ai pas été inquiétée à l’idée de partir dans la campagne japonaise après avoir travaillé deux ans à Fukuoka. Même si je venais pour la première fois à Izumo en août 2018, ce nom ne m’était pas inconnu. Il s’agissait d’un nom que j’avais retenu de mes manuels d’Histoire du Japon alors que j’étais encore à l’université. Aujourd’hui je n’ai plus mes manuels, mais l’Histoire du Japon a en quelque sorte pris corps dans mon quotidien et j’ai la chance de découvrir Izumo sous un autre angle un peu plus tous les jours.

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